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HRISTINA STOYANOV

Je ne suis ni une déesse, ni une nymphe, ni une demi-déesse. Je suis une simple mortelle dont, un jour Apollon est tombé éperdument amoureux. Il dit de moi que je suis un génie des arts, née pour les pratiquer. Moi-même j'ignore d'où je tiens tous ces talents ; je suis une danseuse professionelle spécialisée dans les danses sportives en plus d'être, pendant mes temps libres, musicienne et chanteuse. Le dessin est également l'un de mes talents mais que j'utilise très peu.

Je m'appelle Hristina. Je suis Bulgare, ce que vous pourrez constater par mon accent, et je suis âgée de 19 ans. Avant d'arriver aux Etats-Unis, je vivais en Bulgarie. J'y suis née et j'y ai été adoptée par une famille Bulgare, ce qui fait que je n'ai pas eu a quitter mon pays. Je suis la seconde d'une famille de 11 enfants, mes parents ayant des postes haut-placés à bons revenus, ils avaient la place nécessaire pour accueillir autant d'enfants que possible. Certains, sont des enfants biologiques et la plupart, comme moi, sont adoptés depuis leur premiers mois. J'ai commencé à danser dès qu'il était possible pour un enfant de le faire, et j'ai vite abandonné le collège pour partir étudier dans une école de danse. A mes 18 ans, quand j'ai reçu mon diplôme de danseuse professionnelle, je suis partie vivre aux USA et c'est là que l'aventure à réellement commencée.

 

Il y a un an, j'ai rencontré ce garçon, d'une beauté incroyable et qui  ne semblait pas être plus âgé que moi. Non, mais sérieusement, il était vraiment beau ! Et aussi passionné que moi pour les arts. Pendant des semaines, nous avons dansé ensemble, allant du jive au foxtrot en passant par le tango, la valse et j'en passe. Je ne pouvais pas résister à ses cheveux blonds et à son sourire charmeur. Un beau jour, il m'a avoué qu'il était le dieu Apollon. Je lui ai rit au nez, prenant ça pour une blague. Je l'ai aimé comme on ne peut aimer plus, il a été mon premier amour. Je sais, à 18 ans ça peut paraître tard mais pourtant, j'avais toujours refusé de tomber amoureuse de n'importe qui. Là je n'ai pas pu lui résister, il sentait le talent à plein nez.

 

Quand j'ai compris que je ne pourrais pas rester l'éternité à ses cotés, je me suis accrochée à lui, pleurant toutes les larmes de mon corps en le suppliant de rester. Je lui ai dit que je ferai tout et n'importe quoi pour qu'il reste. Lui, m'a simplement répondu que j'étais jeune et que je connaîtrais encore l'amour, que j'aurai des enfants avec un autre et que tout ira bien. Mais non, je n'ai rien voulu entendre ni comprendre. Je lui ai alors demandé de juste faire en sorte que je puisse être encore plus unique à ses yeux, différente, importante et par-dessus tous, encore présente.  Alors, il m'a nommé sa grande prêtresse. 

 

Les prêtres et prêtresses ayant disparus depuis la fin de l'antiquité, n'ayant plus de temples et de mortels croyant à l'existence des dieux, il a ainsi prétendu que je serai la première et que d'autres suivraient pour ainsi reformer cet ancien groupe social mais cette fois modernisé. Son dernier cadeau, fut le don de prophétie car d'après lui, le titre de prêtresse allait me mêler au monde de la mythologie, ce don qu'il m'accorderait me serait plus qu'utile.

Prêtresse d'Apollon

Possède le don de prophétie

Mon rôle est de prier et d'accomplir des sacrifices vivants ou non en l'honneur d'Appolon, et c'est également moi qui ai le pouvoir de l'invoquer dans un but simple de prières ou encore dans un but de communication. Pour ce dernier, je reçois les paroles du dieu et les reformules moi-même ou parfois quand la situaton est d'une grande importance, je peux entrer en transe pour laisser Apollon parler lui-même  à travers moi.

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